Arwen Marine
 
Accueil Les Nouvelles Nos Bateaux L'Entreprise Le Glossaire
Plan du site Recherche sur le site Nous ecrire
Nouvelles précédentes Trouver une page par date Retour vers le futur
Images des activités en cours à l'atelier

13/09/06

Cliquez pour une image plus grande.   Cliquez pour une image plus grande.   Cliquez pour une image plus grande.

Je me dépêche de mettre en ligne mon stock de photos de la suite de la construction du Silmaril numéro 1, car elles s'accumulent et j'ai du mal à trouver le temps de les traiter. Dans les dernières "nouvelles", j'avais stratifié un tissu de verre épais (300 g/m2) sur le fond de la coque : sole et 4 bordés de fond (galbords et contre-galbords). J'avais utilisé un tissu plus léger (162 g/m2) pour les caissons avant et arrière, stratifés jusqu'au bordé 5 inclus.

 

Evidemment, cette stratification est suivie d'un ponçage, car on ne peut pas recouvrir l'époxy sans l'avoir poncée.

 

Gros plan sur la surface stratifiée après ponçage : la poudre blanche est surtout constituée d'époxy, mais il y a aussi un peu de fibre de verre, parfois en morceaux assez gros, comme la baguette que l'on voit au centre le l'image, qui fait 7 cm de long. Ce morceau provient de la lisière de la stratification, sur le joint entre les virures 2 et 3. Par endroits, le bord du tissu s'est légèrement relevé suite à la coupe, et j'élimine toute la fibre de verre qui n'est pas en contact avec le contreplaqué, car le composite est incomplet.

   

Cliquez sur les photos pour les voir en grand

   
Cliquez pour une image plus grande.   Cliquez pour une image plus grande.   Cliquez pour une image plus grande.

Le ponçage de l'intérieur des caissons est nettement plus limité : je passe juste un petit coup sur les bords pour éliminer la fibre qui rebique ou d'éventuelles bulles. En effet, je n'ajouterai plus rien sur la surface intérieure des caissons.

 

Je complète la stratification du compartiment central sur les cotés : les virures 2, 3 et 4 vont être couvertes par un tissu de 162 g/m2) afin de rigidifier et consolider la coque. Par contre, les virures 5 et 6 restent nues, car le haut de la coque sera tenu par les listons, que je compléterai sans doute par une serre sur cales.

 

J'ai scotché le haut du tissu afin qu'il tienne en place en attendant de le saturer de résine époxy. J'ai prévu de remplacer ces deux grammages et ces trois pièces de tissu de verre par deux pièces de 200 grammes qui seront simplement croisées sur la sole. L'extérieur de la coque sera stratifié sur la même zone que celle qui est couverte par le premier tissu à l'intérieur : sole et 4 bordés de fond.

   

 

   
Cliquez pour une image plus grande.   Cliquez pour une image plus grande.   Cliquez pour une image plus grande.

Le second tissu recouvre le premier sur toute la largeur des bordés 2.

 

Je termine en passant une couche d'époxy "mouillé sur mouillé" lorsque l'époxy de stratification est "amoureuse" (c'est à dire presque dure mais encore collante, il a des poêtes chez les peintres...) J'étands cette couche aux cloisons 1 et 4 et aux bordés 5 et 6, ainsi qu'à la face extérieure du tableau.

 

En parallèle, je colle les renforts extérieurs sur les flancs du puits de dérive. Le bidon au premier plan sert à contrer le vrillage de l'un des flancs : il exerce un pression sur le coin de l'assemblage qui est supporté à son autre extrémité par le tréteau en bois. L'autre bord est pressé sur la règle en alu (ancienne barrière de parking) afin d'assurer sa rectitude. J'ai vérifié l'horizontalité sur la longueur de la pièce à l'aide de mon niveau à bulle.

   

Cliquez sur les photos pour les voir en grand

   
Cliquez pour une image plus grande.   Cliquez pour une image plus grande.   Cliquez pour une image plus grande.

La pièce de gauche double le bas du puits de dérive, avec une partie en "T" qui me permettra d'échancrer les flancs du puits pour la pastille de pivot de la dérive. Ceci sera expliqué plus en détail en temps voulu, mais les impatients peuvent de rendre sur cette page de la construction de Gandalf. La pièce de droite renforce le haut du puits et permet de le positionner dans les échancrures jumelles du haut des cloisons 2 et 3.

 

Je sors la coque pour poncer l'époxy "neuve".

 

Au risque de me répéter, je serais curieux de connaitre le poids d'époxy éliminé au ponçage... Je connais le poids total de résine consommée, mais pas le poids des autres éléments qui constitueront le poids du bateau terminé (que je connaitrai en le pesant). En effet, il faudrait peser séparément tous les éléments entrant dans la construction, et surtout, il faudrait peser aussi toutes les chutes qui passent à la poubelle.

   

 

   
Cliquez pour une image plus grande.   Cliquez pour une image plus grande.   Cliquez pour une image plus grande.

Je continue à trouver Silmaril très beau...

 

J'ai aussi fait un petit ponçage sur la face extérieure des flancs du puits de dérive.

 

Je presse les cloisons longitudinales extérieures des ballasts car elles sont voilées et je viens de passer sur leurs deux faces une couche d'imprégnation époxy. J'espère que ce pressage les dégauchira.

   

Cliquez sur les photos pour les voir en grand

   
Cliquez pour une image plus grande.   Cliquez pour une image plus grande.   Cliquez pour une image plus grande.

J'ai stratifié la face intérieure des joues du puits de dérive afin de les renforcer et de les protéger des futures frictions de la dérive.

 

J'ai cousu les bat-flancs des sièges latéraux arrière sur la cloison 1 (*) après avoir découpé un trou pour une trappe de huit pouces, passé sur leurs deux faces une couche d'imprégantion époxy et poncé cette couche. En effet, j'hésitais à faire des équipets ouverts à cet endroit, mais je me suis finalement décidé pour ces compartiments étanches pour augmenter la capacité totale de flottabilité et stabiliser latéralement le bateau lorsqu'il sera plein d'eau.

(*) François Vivier m'a récemment fait remarquer qu'en construction navale, on numérote les éléments d'arrière en avant, de bas en haut et d'intérieur en extérieur. Dont acte.

 

Je colle des raidisseurs (bandes de de contreplaqué de 6 mm en 50 mm de large) sur toute la longueur des cloisons longitudinales extérieures des ballasts car elles sont toujours cintrées après leur imprégnation époxy (malgré le pressage sur la règle alu pendant le durcissement). En effet, ces cloisons doivent être rectilignes pour leur installation, car je n'ai aucune envie de les coudre au bordé sur toute leur longueur. Les raidisseurs seront sur la face extérieure des ces cloisons, et je pense les couper après avoir collé les cloisons dans la coque.

   

 

   
Cliquez pour une image plus grande.   Cliquez pour une image plus grande.   Cliquez pour une image plus grande.

J'ai aussi recousu la cloison 2 en place après avoir découpé des anguillers qui seront sur l'extérieur des réservoirs de ballast. En effet, les deux compartiments sur le coté extérieur des réservoirs de ballast resteront ouverts aux deux extrémités et seront donc traversés par l'eau qui circulera dans les fonds, le cas échéant.

 

J'ai utilisé la défonceuse pour découper les rainures de guidage du pivot de la dérive sur la face intérieure des joues du puits de dérive et je l'ai assemblé en prévision de son collage. Douze vis inox renforceront le collage des joues sur les jambes du puits. Cette découpe sera faite dans les futures versions du kit de Silmaril.

 

En effet, la dérive sera une dérive pivotante extractible : on l'enfile et on l'extrait verticalement dans le puits, mais une fois en place, elle pivote autour de l'axe formé par deux "pastilles" fixées sur la dérive.

   

Cliquez sur les photos pour les voir en grand

   
Cliquez pour une image plus grande.   Cliquez pour une image plus grande.   Cliquez pour une image plus grande.

Gros plan sur les rainures : elles font 9 mm de profondeur et traversent donc les flancs du puits de dérive qui sont doublés à cet endroit afin de renforcer le puits.

 

Je passe une couche d'époxy légèrement chargée sur la stratification qui recouvre l'intérieur des joues du puits de dérive.

 

Je colle un peu tardivement une réglette en CP de 6 mm qui supportera le dessus des réservoirs de ballast sur la cloison 2(et sur la cloison 3) car on ne peut pas faire de bons joints-congés sur ces cloisons à cause de leur partie ajourée.

   

 

   
Cliquez pour une image plus grande.   Cliquez pour une image plus grande.   Cliquez pour une image plus grande.

En parallèle, je stratifie un tissu de verre sur les panneaux des dessus des ballasts. Les bidons placés transversalement servent à contrer le voilage de ces panneaux. J'espère qu'une fois la stratification durcie, ils conserveront leur planéité forcée. Cette déformation de certaines pièces peut provenir de la fabrication ou du stockage des feuilles de contreplaqué, heureusement c'est assez rare.

 

J'ai suspendu le puits de dérive après son collage afin que les coulures éventuelles d'époxy se produisent verticalement (Pourquoi ? Ah, vous non plus ne savez pas...) En fait, je veux éviter qu'en cas de coulures, il y ait formation d'excroissances sur les parois internes.

 

Mardi matin, j'ai fait un dernier ponçage de nettoyage du puits de dérive et je le présente dans la coque, puis j'ajoute la cloison 3 et les dessus de ballast pour vérifier que tout se met bien en place comme prévu.

   

Cliquez sur les photos pour les voir en grand

   
Cliquez pour une image plus grande.   Cliquez pour une image plus grande.   Cliquez pour une image plus grande.

Je me prépare psychologiquement pour la séance de collage et les 19 mètres de joints-congés que je vais faire maintenant...

 

Mission accomplie, j'y ai passé tout l'après-midi, mais cela a été plus facile que prévu. La partie la plus difficile a été de trouver l'ordre dans lequel coudre, coller et visser les divers eléments des aménagements. Il y a en effet 8 vis qui tiennent le puits de dérive (2 à travers la sole et 3 dans chacune des cloisons 2 et 3).

 

Le plus difficile fut de mettre en place la cloison 3 pour la recoudre après avoir collé et vissé le puits de dérive à travers la sole, à cause des longerons de celui-ci qui doivent s'encastrer dans les fentes jumelles du haut de la cloison.

   

 

   
Cliquez pour une image plus grande.   Cliquez pour une image plus grande.   Cliquez pour une image plus grande.

Vue du coté bâbord du puits de dérive avec son joint-congé de 25 mm de rayon. Au centre, c'est le réservoir de ballast bâbord, qui contiendra 50 litres d'eau (je dois encore percer pour fixer son nable de remplissage/vidange). Au premier plan, ce compartiment extérieur restera ouvert aux deux bouts, afin que l'eau des fonds puisse le traverser pour être écopée aussi bien à l'avant qu'à l'arrière. On aperçoit le raidisseur de la cloison longitudinale du ballast que j'ai réduit à 24 mm de hauteur afin qu'il soit moins envahissant et que je puisse notamment faire le joint-congé qui colle la cloison à la coque.

 

J'ai laissé le bout de tasseau tenu par des pinces sur le haut de la cloison 1 afin que celle-ci reste rectiligne car toute la structure que j'ai collée ce jour est cousue ou appuyée dessus, et elle ne doit donc pas bouger.

 

L'ouverture du puits de dérive fait 32 mm de large, ce qui va me permettre de mettre une dérive épaisse, et donc de la profiler suivant l'un des profils codifiés par le NACA. Je pense laminer trois plis de contreplaqué de 9 mm, qui seront sans doute couvert d'une stratification : il restera entre 2 et 4 mm de jeu autour de la dérive.

   

Cliquez sur les photos pour les voir en grand

   
Cliquez pour une image plus grande.   Cliquez pour une image plus grande.   Cliquez pour une image plus grande.

On commence à pouvoir imaginer Silmaril terminé...

 

J'ai pris beaucoup de temps à me décider à découper les anguillers de part et d'autre des réservoirs de ballast, au lieu de faire traverser ceux-ci par des tuyaux de PVC comme sur Gandalf. En laissant ouverts les compartiments latéraux, j'abandonne en effet 60 litres de flottabilité. Mais je rationalise en me disant qu'ils n'auraient eu guère d'impact sur le volume total disponible. Surtout, cela simplifie considérablement la construction.

 

Gros plan sur l'ouverture en secteur de l'anguiller tribord avant et les compartiments tribord, avec le ballast à droite, dans lequel on aperçoit l'un des deux joints-congés massifs du pied du puits de dérive.

   

 

   
Cliquez pour une image plus grande.   Cliquez pour une image plus grande.   Cliquez pour une image plus grande.

Visite du réservoir de ballast tribord. Je dois encore positionner et percer le trou du nable de remplissage-vidange.

 

Je me prépare à stratifier le dessous des panneaux de fond de la cellule centrale, tout comme leur face supérieure. On risque de marcher et sauter beaucoup sur ces panneaux qui se trouveront au centre du bateau et je veux donc être sûr de leur solidité.

 

Je viens de faire la découpe pour le panneau d'accès au caisson avant.

   

 

   
Cliquez pour une image plus grande.   Cliquez pour une image plus grande.   Cliquez pour une image plus grande.

J'ai terminé l'ajustage des deux panneaux jumeaux qui constituent le pontage arrière. En effet, ils sont coupés à la dimension théorique et il y a des variations de quelques millimètres sur la coque collée.

 

J'ai découpé l'ouverture pour le panneau d'accès au caisson arrière, et collé la structure de renfort de l'ouverture qui sert en même temps à solidariser les deux panneaux.

 

Collage également de la structure de renfort sous le panneau avant, ainsi que du doubleur d'étambrai. On aperçoit à l'arrière-plan les panneaux de fond de la cellule centrale sur lesquels je viens de repasser une couche d'époxy.

   

 

   
Cliquez pour une image plus grande.   Cliquez pour une image plus grande.   Cliquez pour une image plus grande.

J'ai passé une nouvelle couche d'époxy sur toutes les parois intérieures du compartiment central, car il sera bientôt fermé et totalement inaccessible.

 

Et vous l'aviez deviné : qui dit nouvelle couche d'époxy dit aussi nouveau ponçage...

 

Je donne un coup de lime au bord de ces nables Plastimo, car leur rebord fait 5 mm de haut. Après traitement (celui de droite), le rebord est réduit à 1.5 mm, ce qui réduira l'eau résiduelle dans les réservoirs de ballast où je vais les utiliser. Je vais aussi remplir la cavité des bouchons d'époxy chargée que j'affleurerai au niveau de la sole afin de réduire les trubulences.

   

 

   
Cliquez pour une image plus grande.   Cliquez pour une image plus grande.   Cliquez pour une image plus grande.

Superbement annoncé par l'image précédente, voici le perçage pour l'installation du nable bâbord : j'utilise une mêche plate de 26 mm pour faire ce trou. Je fais d'abord un premier trou à travers la sole en 6 mm, puis j'utilise ce premier trou pour centrer l'énorme forêt pour percer à mi-bois par l'extérieur, et je termine en perçant par l'intérieur, ce qui me permet d'obtenir un trou "propre" sans que le CP de la sole ait besoin de passer par les urgences (car oui, j'avais déja fait la bévue de percer directement et le trou de sortie était, comment dire, moche).

 

Je colle le pied de mât, "sécurisé" par 4 vis de 40 mm qui traversent la sole et viennent jusqu'à mi-bois de la plaque du dessus. Je ferai ensuite de petits joints-congés tout autour du pied de mât.

 

Une des opérations qui m'a le plus occupé ce jour : la découpe d'accès des panneaux de la cellule centrale... En effet, il faut créer à la fois un évent (pour que l'air passe librement et permette aux réservoirs de ballast de se remplir et se vider) et un accès au nable afin de pouvoir le fermer ou l'ouvrir et ainsi choisir de naviguer ballast plein ou vide, et accessoirement mettre à raffraichir une bouteille par réservoir... Comme vous le verrez ultérieurement, il n'est pas simple de répondre cumulativement à toutes ces fonctions.

   

 

   
Cliquez pour une image plus grande.   Cliquez pour une image plus grande.   Cliquez pour une image plus grande.

Essayage du pontage arrière assemblé avant collage.

 

Je viens de passer une dernière couche d'époxy claire sur toute la surface intérieure du réservoir de ballast tribord, ainsi que sur la face inférieure du panneau de fermeture et viens de le coller. J'utilise tous ces bidons pour le presser en place à cause du voilage résiduel qui gêne pour le coller uniformément. Au premier plan, je viens de passer la couche d'époxy claire sur le compartiment bâbord, au fond duquel on aperçoit le nable, collé juste avant. Je vais maintenant appliquer un filet d'époxy chargée sur tout le pourtour de contact du panneau avant de le mettre en place.

 

J'ai du poser une de mes défonceuses en plus de tous ces bidons afin d'arriver à presser uniformément le panneau tribord, le plus voilé des deux. A un moment, je me suis même demandé si je n'allais pas faire basculer la coque avec tout ce poids du même coté, en attendant de rétablir l'équilibre sur le panneau bâbord.

   

 

   
Cliquez pour une image plus grande.   Cliquez pour une image plus grande.   Cliquez pour une image plus grande.

Le lendemain, après avoir fait les joints-congés des panneaux de la cellule centrale, je passe au collage des deux bancs transversaux et des pontages avant et arrière. Je commence par passer une couche d'époxy claire sur les parois intérieures des caissons, sur la face inférieure des bancs et des pontages, et je tartine d'époxy chargée tous les chants sur lesquels ces éléments vont reposer. Je mets tout en place et je distribue les bidons en fonction des besoins de pressage. Je vérifie immédiatement que les pièces reposent bien sur les chants encollés à l'aide d'un miroir que je promène le long de tous les joints cachés.

 

Vue du nable du réservoir de ballast tribord. Je dois encore construire la "boite" pentagonale (*) qui portera l'évent et la trappe de 4 pouces permettant de passer la main pour ouvrir ou fermer ce nable.

(*) Il s'agira bien sûr d'un pentagone irrégulier car ni ses 5 cotés ni ses 5 angles ne seront égaux.

 

Image du soir : j'ai fait aujourd'hui une bonne quinzaine de mètres de joints-congés et surtout passé une étape importante dans la construction de ce Silmaril numéro 1 avec le collage de tous les éléments horizontaux.

   

 

   
Cliquez pour une image plus grande.   Cliquez pour une image plus grande.   Cliquez pour une image plus grande.

Christian m'envoie les trois images suivantes des premiers essais de son Skerry, l'un des deux construits pendant "Je construis mon bateau" à Vannes, au moment de la Semaine du Golfe.

 

Cette croisière inaugurale a permis à Christian de se rendre sur l'ile de Tatihou, en face de Saint-Vaast-La-Hougue, sur la face est de la pointe du Cotentin.

 

Christian ne nous en dit pas plus sur ses impressions mais il semble que tout se soit bien passé. Il s'est inspiré pour son chariot de celui que Didier a construit pour Chasse-Marée.

   

Cliquez sur les photos pour les voir en grand

   
Cliquez pour une image plus grande.   Cliquez pour une image plus grande.   Cliquez pour une image plus grande.

Les neuf images suivantes nous viennent des Alpes Maritimes (et du Var) : il s'agit de la finition et surtout des premiers essais de la Yole de Chester d'Annick et Emmanuel, dont vous avez pu suivre la construction accompagnée récemment.

 

Superbe couleur pour les planchers et l'extérieur de la coque.

 

Quelques gouttes de Champagne pour baptiser l'esquif...

   

 

   
Cliquez pour une image plus grande.   Cliquez pour une image plus grande.   Cliquez pour une image plus grande.

J'adore la combinaison de l'okoumé vernis avec ce vert très lumineux.

 

La couleur de la coque s'harmonise avec les tons verts et bleus de l'eau du lac de Saint-Cassien.

 

En effet, Annick et Emmanuel ont préféré les eaux calmes du lac pour leurs premiers essais de nage car ils étaient jusque là exclusivement kayakistes et la nage en double demande un petit apprentissage pour la synchronisation et le dosage de l'effort entre les deux bras.

   

Cliquez sur les photos pour les voir en grand

   
Cliquez pour une image plus grande.   Cliquez pour une image plus grande.   Cliquez pour une image plus grande.

Que dire de plus sur l'élégance de la Yole de Chester ?

 

Emmanuel me dit que la bateau répond en tous points aux attentes placées en lui, et que l'apprentissage de la nage en double progresse.

 

Vraiment un très bon choix de teinte...

    Cliquez sur les photos pour les voir en grand    
Nouvelles précédentes Trouver une page par date Retour vers le futur

Tous ces superbes bateaux sont des kits de bateaux en bois à construire soi-même selon la technique du « cousu-collé », utilisant du contreplaqué, de la résine époxy et de la fibre de verre. Construire son bateau soi-même procure beaucoup de plaisir et une grande fierté. Démarrer à partir d’un kit vous facilite la tâche  : vous n’avez pas à vous soucier de trouver vous-même tous les éléments : contreplaqué, bois, résine époxy, tissu de verre, etc. Tout est "dans la boite", comme une maquette géante. Le fait que les pièces soient déjà découpées vous évite l’angoisse de l’erreur et une partie assez ingrate au début du projet. Vous hésitez à vous lancer seul : venez à notre atelier pour une "construction accompagnée". Si vous cherchez plutôt un bateau "tout fait", nous pouvons construire pour vous chacun de ces bateaux : demandez nous un devis pour votre bateau "barre en main" !

Haut de page   Retour   Glossaire
Copyright © Arwen Marine Emmanuel Conrath 2013 www.arwenmarine.com