10/10/02 |
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Profitez bien de cette vue, qui va bientôt être l'exclusivité des poissons et des crabes ! Il s'agit bien sûr du dessous du Doris 17, que je retourne avec l'aide de ma chèvre, afin de poncer la couche d'époxy sur l'extérieur, faite un peu à l'arrache juste avant de partir pour La Rochelle. Plus ça va, plus je trouve que cette coque est jolie ! |
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Outre le ponçage, prélude à une seconde couche d'époxy, je dois ouvrir le puits de dérive à travers la sole, et faire les ouvertures pour fixer les "vide-vite". J'ai en effet cassé ma tirelire pour mettre deux petits vide-vite au fond du Doris 17. Je trouve ces trucs-là presque magiques : ils écopent l'eau embarquée tout seuls (à condition que le bateau avance assez vite, quand-même) ! D'ailleurs ils ont aussi le prix de trucs magiques... |
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J'ai fini le premier ponçage à la ponceuse orbitale, et je vais finir les bords et les coins à la ponceuse triangulaire, puis finition à la main, avec la cale à poncer. |
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Je viens de percer à travers la sole près des extrémités du puits de dérive, entre les deux nables du ballast liquide, et je vais maintenant habilement réunir ces trous de deux traits de scie sauteuse, à 2 mm à l'intérieur des joues du puits (enfin, c'est ce que j'espère !) |
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Les vide-vite sont livrés avec un gabarit de découpe en carton, attention touchante (et précieuse !). Je les place un peu à l'intérieur de l'angle entre la sole et le bordé 1, sur chaque bord, au pied de la cloison 2, sur le joint-puzzle de la sole. |
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Ce modèle de vide-vite se pose sur l'extérieur de la coque : outre la découpe traversante, il faut découper une feuillure de 1 mm de profondeur pour encastrer la plaque extérieure du vide-vite. |
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Je suis très content de ma feuillure, réalisée au ciseau à bois (préalablement réaffûté). Encore un petit coup de finition et c'est bon ! Je dois dire que je n'anticipais pas trop cette tâche... Le "L" à l'envers est une partie de la stratification enlevée pour réaliser la feuillure. |
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Essayage du vide-vite : pile-poil ! J'entends déjà ses joyeux gargouillis quand il aspirera de l'air avec un petit fond d'eau... |
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Vue générale de tous les trous dans la coque. J'ai fini la fente du puits de dérive à la défonceuse : d'abord avec une fraise à guide droite, puis une fraise à guide en quart de rond pour arrondir le bord sur la sole : même pas peur !!! |
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Je trace le gabarit du gouvernail sur une chute. |
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J'ai scotché mon gabarit sur le tableau arrière pour vérifier la ligne du bas du gouvernail, que je vais devoir relever un peu afin d'éviter que le gouvernail talonne avant le skeg. Je pense l'équiper d'un petit safran rétractable en secteur afin d'augmenrter sa surface dans le bas. |
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Outre le skeg, j'ai collé trois fausses-quilles : une petite centrale, du brion au puits de dérive, et deux latérales. Je n'ai pas encore décidé si je les laisse "nues" (ouh !) ou si j'ajoute des bandes-molles en alu pour les blinder. Leur rôle sera de prendre les coups pour le compte de la sole. |
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Les fausses-quilles étaient tenues pendant le collage par des vis sur cales. J'ai eu le nez creux en prenant des vis inox, car le collage est si bon que j'ai cassé 4 des 16 vis en les enlevant, comme on le voit sur cette image. Le reste de ces 4 vis restera donc en place à tout jamais, et je vais maintenant boucher tous les trous à l'époxy chargée. |
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J'ai passé une couche d'imprégnation époxy sur tout ce nouveau bois. |
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Puis un petit ponçage, dépoussièrage sec et mouillé, puis voici une nouvelle couche d'époxy sur tout l'extérieur de la coque. |
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Bernard nous envoie les six photos suivantes de la construction de son Doris 17 "Clacagnute". Ses précédentes photos dataient de la fin du mois d'août. Voici l'essayage de son compartiment étanche avant. Notez la discrète pièce d'étrave ajoutée par Bernard. |
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Bernard me dit avoir eu des problèmes d'allergie à l'époxy : il est impératif de se protéger de tout contact avec l'époxy pour éviter de se sensibiliser. Après une pause et équipé de protections (masque, gants, visière, etc), il n'a plus eu de problème. |
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Bernard a ajusté sa guirlande pour qu'elle vienne s'encastrer sur le "nez" de son étrave. |
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Bernard a renforcé le haut de sa cloison avant sur laquelle il va appuyer l'étambrai. Contrairement au mien, son étambrai sera ouvrant, afin d'éviter de devoir soulever le mât pour mâter ou démâter. Il s'est finalement décidé pour une misaine au tiers, comme moi. |
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Autre vue du compartiment avant : on voit clairement la pièce d'étrave. |
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Voici la cloison du compartiment arrière. Bernard l'a avancée de 10 centimètres, alors que j'ai avancé la mienne de 15 centimètres : les 5 centimètres de différence sont "volés" au nageur arrière. Bernard nous fait remarquer que c'est quand-même la place du chef de nage, pas celle du nain du bord... A suivre lors des essais ! |
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