10/07/09 |
 |
|
 |
|
 |
| |
|
Cliquez sur les photos pour les voir en grand |
|
|
Je me prépare enfin à commencer la peinture de la Yole de Chester : j'ai masqué le tableau arrière et les listons qui resteront vernis. |
|
Et voilà, la première couche est faite, en "gris platine" (nettement plus luxueux que "gris souris" - et un peu plus clair aussi !) |
|
Petite diversion : je fais le premier collage à l'époxy d'un mât "caisse" pour une voile au tiers de 8 m2 : les deux éléments centraux sont collés sur l'une des joues. |
| |
|
|
|
|
 |
|
 |
|
 |
| |
|
|
|
|
Après ce premier collage, je passe l'ensemble dans le rabot stationnaire afin d'obtenir une surface impeccable pour le second collage (celui de la seconde "joue" sur l'ensemble). |
|
Le vernis de l'Arwen avance bien, au second plan à gauche, j'ai fait le second collage du mât, au centre la Yole de Chester a reçu une nouvelle couche de gris, ainsi que la pelle de ses quatre avirons, en gris comme la coque (idée empruntée à Pierre). |
|
Je colle les éléments du mât sur ma règle en alu (une barrière de parking en retraite active). Je n'ai malheureusement pas fait de photos de la suite : passage à l'octogone puis à l'hexadécagone (16 cotés, parfois nommé hexakaidécagone) sur le rabot stationnaire grâce à des cales de rabotage, puis affinage des extrémités et reprise de l'hexatruc au rabot électrique) et enfin finition à la ponceuse. |
| |
|
|
|
|
 |
|
 |
|
 |
| |
|
Cliquez sur les photos pour les voir en grand |
|
|
Peinture de l'extérieur finie sur la coque de la Yole de Chester, j'attaque le vernis... |
|
Vue de la coque en cours de vernis, sans les planchers que je vernis séparément. Les trois éléments du plancher pèsent 7 kg ensemble, et je suis tenté de modifier le système pour pouvoir m'en passer tout en conservant la flexibilité de positionnement qu'ils offrent. |
|
Entretemps j'ai fini le vernis de l'Arwen et je viens de poser le lettrage sur le tableau. Celui-ci est réalisé en film transférable, en deux couches : une blanche, puis une dorée, afin de simuler des lettres dorées avec un contour blanc. |
| |
|
|
|
|
 |
|
 |
|
 |
| |
|
|
|
|
J'ai mis l'Arwen sur la tranche afin d'installer les trappes des caissons étanches, les quatre cadènes qui vont permettre de la hisser sur le pont de son bateau-mère par une drisse et une patte d'oie, les taquets, les chaumards, etc. |
|
J'ai installé entretemps des bandes-molles en alu de 2 mm d'épaisseur, nettement moins lourdes que l'inox, et pour lesquelles la corrosion électrolytique n'est pas à craindre sur une annexe qui passera par définition l'essentiel de son temps quille à l'air. La lumière du soir ajoute une touche dorée au contreplaqué makoré de la coque... |
|
J'ai aussi installé un plastron en contreplaqué marine brut de part et d'autre du tableau afin d'éviter que les presses d'un éventuel hors-bord attaquent le vernis. |
| |
|
|
|
|
 |
|
 |
|
 |
| |
|
Cliquez sur les photos pour les voir en grand |
|
|
| On y est presque... |
|
Il manquait encore le "bout" de 30 mm de diamètre en polypropylène (léger et résistant aux UV) aspect "chanvre". C'est la dernière image de la construction de cette Arwen...
|
|
L'Arwen est partie rejoindre son bateau-mère et j'installe les supports de dames de nage sur la Yole de Chester. J'ai enroulé de l'adhésif sur mes forets afin de limiter la profondeur des trous à percer. |
| |
|
|
|
|
 |
|
 |
|
 |
| |
|
|
|
|
| Pesage de la Yole de Chester : 40 kg sans les planchers (ni la trappe avant, mais elle n'a guère d'impact). Avec les planchers, nous serons donc à 47 kg, soit 2 kg au-dessus du poids théorique... Je savais que je serais au-dessus car j'ai augmenté de 30% la stratification intérieure, mais 2 kg, c'est cher payé... |
|
J'ai mis la yole sur la tranche pour monter la trappe avant. |
|
Je n'arrive plus à me procurer les petites chaînettes de sureté en laiton, et j'ai donc mis un bout de bois sur un bout de garcette fermé par un noeud de pécheur : nettement moins élégant mais tout aussi sûr ! |
| |
|
|
|
|
 |
|
 |
|
 |
| |
|
Cliquez sur les photos pour les voir en grand |
|
|
| Michel et Frédérique m'envoient des images des essais de leur Wood Duck 12. Très belle construction, notez la pièce d'étrave qui tient à la fois la poignée de transport et la ligne de vie. |
|
Notez également le motif incrusté de tortue marine sur le pontage avant. Cette image met en valeur la largeur conséquente du Wood Duck 12, qui lui donne une très forte stabilité. |
|
Douze pieds, cela fait tout de même 3.66 m... Bravo pour cette construction impeccable, on attend maintenant le Shearwater ! |
| |
|
|
|
|
 |
|
 |
|
 |
| |
|
|
|
|
| Lionel m'envoie ces images de ses essais de gréement. Lionel a opté pour le gréement de sloop houari sur son Skerry, et doit donc essuyer quelques plâtres car cette combinaison est assez peu fréquente, et je ne l'ai moi-même jamais mise en oeuvre. |
|
Lionel a mis son gréement en place avec du scotch et de la ficelle (j'exzgère un peu) afin de visualiser concrètement la quête du mât (qu'il a réalisé en bois à la place du tube en alu), l'emplacement des ancrages des haubans, le capelage de l'écoute de grand-voile par rapport à la barre, etc. |
|
Je suis fort curieux de la performance de ce gréement sur le Skerry : 7.30 m2, cela fait nettement plus que la misaine à livarde (5.10 m2) du gréement standard ! |
| |
|
|
|
|
 |
|
 |
|
 |
| |
|
Cliquez sur les photos pour les voir en grand |
|
|
| Dominique nous envoie de Suisse ces superbes images de la mise à l'eau de son Oxford Shell. Il a choisi de ne pas monter l'hiloire et le petit brise-lames devant le cockpit. Attention quand il y aura du clapot... |
|
Magnifique image d'une fin de journée calme, avec un superbe éclairage grâce à un soleil déjà bas dans le ciel... |
|
Les 6.25 m de l'Oxford Shell ne demandent plus qu'à s'élancer pour glisser sur ce miroir... |
| |
|
|
|
|
