Jour 5 : Jeudi 1er novembre 2012 |
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Nous avons tiré à la courte-paille qui aurait le douloureux privilège de percer la coque toute neuve, et c'est Jean qui s'y colle. Il s'agit biensur de réaliser l'ouverture basse du puits de dérive. |
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Jean a percé deux trous légèrement en avant des extrémités de la fente du puits de dérive, et il relie maintenant ces trous à la sci sauteuse en suivant le tracé, laissant une sécurité de 2 à 3 mm de part et d'autre. |
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En effet, c'est à la défonceuse que nous finissons le contour de la fente, avec une fraise droite à guide. Le guide prend appui sur la paroi interne du puits de dérive, et la fraise coupe la sole au droit de cette paroi.
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Et nous terminons avec une autre défonceuse montée et réglée avec une fraise en quart de rond, également à guide, pour arrondir l'arête tout autour de la fente du puits de dérive. | |
Poncage des extrémités des bordés au droit de la marotte. |
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Nous avions fait une prédécoupe dans le siège central pour le passage de la dérive avant de le coller, et nous avons passé la défonceuse à fraise droite, puis voici la fraise en quart de rond. On voit très bien (sur la grande version de cette image) la découpe faite par cette fraise au premier plan, là où j'ai attaqué. |
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Perçage en 26 mm pour le nable, dans le coin tribord de la sole, juste devant le caisson arrière. Ce nable permettra d'évacuer l'eau de nettoyage-rinçage, le bateau étant légèrement cabré et penché. C'est une des rares occasions d'utiliser mon renvoi d'angle... |
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Premier essayage du mât. |
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Ponçage à l'intérieur de l'atelier, à cause de la pluie, et nous avons donc branché la ponceuse sur l'aspirateur.
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L'intérieur reçoit une couche intégrale d'époxy : c'est la seconde sur les sièges, la troisième sur les bordés 2, 3 et 4 et les membrures et la quatrième sur la sole et les bordés 1. |
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J'utilise une "lime rotative" (je ne sais pas si cela a un autre nom, mais c'est très pratique pour rectifier toutes sortes d'ouvertures) afin d'éliminer les bavures de collage à l'intérieur de la poignée découpée dans l'aileron. On peut légitimement se poser la question de l'utilité de cette poignée... |
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Voila l'aileron posé "à sec". Nous avons admiré la précision de la découpe coté sole, que nous n'avons pas eu à adapter. Nous avons aussi vissé les fausses quilles latérales, également sans colle pour l'instant. Notez que nous n'avons pas encore coupé le bout du nable qui dépasse à travzers la sole. |
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Jean sature au pinceau les petites bandes de fibre de verre que nous posons sur le pourtour de l'ouverture du puits de dérive. Nous avions stratifié la face interne des deux joues du puits avant de le monter. Ce n'est pas prévu dans le manuel de construction, mais je troue que c'est une bonne idée car on n'ira plus guère inspecter ou réparer l'intérieur du puits de dérive. |
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Marie-Pierre fait de la photo aérienne... |
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Collage de l'aileron et des fausses quilles. Ces dernières sont mécaniquement tenues par une vis à chaque extrémité à travers la sole, et il est normalement prévu de visser aussi l'aileron, mais je préfère ne pas mettre de vis, et faire plutôt de très gros joints-congés de part et d'autre (le chant de l'aileron est aussi encollé avant de le poser) et sa tenue pendant la prise de l'époxy est assurée par les bandes adhésives. |
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Fin de la cinquième journée ! Nous avons légèrement dévié de mon planning initial, nous avons repoussé de deux jours le collage des listons. |
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