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Voici à coté du prototype du Silmaril la palette filmée de plastique noir qui contient les 10 feuilles de contreplaqué marine okoumé (6 feuilles de 9 mm et 4 feuilles de 6 mm) du premier kit de Silmaril. |
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Ce 23 décembre 2014, Hervé vient enlever son kit à Clairoix. Nous venons de le poser dans la remorque et il nous reste encore à l'amarrer et le couvrir. |
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Dès l'arrivée à la maison, Hervé sépare toutes les pièces des feuilles de contreplaqué auxquelles elles sont encore attachées par des "ponts", comme les pièces des maquettes Heller ou Airfix de nos jeunes années. |
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Voici toutes les demies virures, qu'Hervé a étiquetées d'après le schéma d'identification fourni dans le manuel de construction. |
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Et voilà ce qui reste à l'issue de l'identification et de l'extration des pièces. Contrairement à celui du Silmaril, les pièces de nos kits d'origine CLC sont déjà extraites des feuilles de contreplaqué et identifiées par des étiquettes autocollantes, puis emballées dans des cartons pour l'expédition. |
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Hervé a négocié avec son épouse un bail d'utilisation du salon familial pendant la période des fêtes de fin d'année, après quoi le bateau doit rejoindre un abri de jardin, euh, justement dans le jardin ! Hervé met donc les bouchées doubles pour que son Silmaril soit déplaçable à l'issue de cette première période de travail. |
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Collage du joint-puzzle des deux moitiés de la sole, dans laquelle l'ouverture du puits de dérive est pré- découpée. |
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Collage de deux virures superposées et pressées par cette chute vissée en travers du joint. Notez les feuilles de plastique qui empêchent que les virures collent sur la table et l'une sur l'autre. |
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Voici le tableau et le contre-tableau qui sera collé sur sa face intérieure afin de le rigidifier. |
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Le tableau est prêt à l'emploi. La rainure horizontale recevra, le moment venu, l'extrémité des deux demi-pontages arrière. La petit rainure verticale recevra l'étambot. A droite, collage des deux épaisseurs de la guirlande (notez qu'Hervé ne craint pas les coulures d'époxy sur son parquet !) |
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Voici la sole posée sur le chariot de construction qu'Hervé avait préalablement construit afin de pouvoir facilement déplacer le bateau au cours de sa construction. |
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Présentation des deux virures 1 (ou galbords). |
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Les deux virures 1 sont cousues sur les bords de la sole et trois des quatre cloisons sont en place, il ne manque que la cloison du compartiment avant. Notez que tous les trous des sutures sont percés au moment de la découpe numérique, ce qui permet de positionner les cloisons sans chercher leur emplacement. |
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Hervé s'apprête à suturer ensemble les extrémités des virures 2. Les encoches permettent de faire la transition du franc-bord de la ligne d'étrave au recouvrement des clins collés. |
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La poupe avant la pose du tableau. On voit bien comment la sole et les deux premières virures se rejoignent pour former "l'aileron-boite". |
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L'étambot est collé sur la face intérieure du tableau. Notez que le contre-tableau est un peu plus petit que le tableau afin de laisser de l'espace pour le joint-congé qui liera l'extrémité des virures au tableau. Le tenon au bas de la pièce d'étambot viendra se loger dans une mortaise percée à travers la sole. |
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Toute la structure transversale (le tableau et les quatre cloisons) est en place, et 4 des 6 virures sont cousues. |
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Et voilà ! Toutes les virures sont cousues et Hervé fait l'essayage des deux demi-pontages arrière. |
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Vue de la proue : notez la découpe dans le bord supérieur de la cloison avant, afin de laisser le passage au doubleur d'étambrai. |
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Gros plan sur la partie arrière. |
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Hervé a déposé le pontage arrière et fait le premier collage : les joints du tableau et des deux cloisons des extrémités sont faits, de même que ceux de l'étrave (invisible ici) et de la sole avec les virures 1. |
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Les joints autour du tableau. |
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Les joints autour de la cloison du compartiment avant. |
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Imprégnation époxy de la surface intérieure, vue prise depuis tribord arrière. |
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Même étape vue vers l'arrière. |
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Positionnement "à sec" du puits de dérive entre les cloisons 2 et 3 et du banc de nage avant. |
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La coque est retournée en vue du second collage, qui consiste à déposer un cordon d'époxy chargée (mais assez fluide) dans toutes les liaisons entre les virures. |
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Gros plan avant collage... |
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... et gros plan après collage. |
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Il suffira de chauffer les sutures de fil de cuivre pour les extraire : la chaleur ramollit l'époxy en contact avec le cuivre et permet de libérer les sutures. |
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Après collage et extraction des sutures, la coque est remise à l'endroit , le puits de dérive est collé, de même que les tubes PVC qui traversent les réservoirs de ballast afin de faire communiquer les fonds d'avant en arrière. |
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Collage des flancs des réservoirs de ballast det des réglettes des cloisons. Les compartiments qui flanquent les ballasts sur l'extérieur seront moussés afin de stabiliser le bateau s'il est totalement rempli d'eau, suite à un chavirage. |
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Même étape vue de l'avant. |
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A suivre sur le site du Skerry Keleren |