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Nous commençons la couture de ce 48e Skerry de France et 61e bateau construit chez Arwen Marine. |
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Les deux premiers bordés sont cousus sur les bords de la sole et nous ajoutons les membrures (ou cloisons). |
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On ajoute les bordés numéro 2 et déjà la forme du Skerry se dessine. |
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Couture du bordé 3 tribord. |
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Le maillet que l'on aperçoit au premier plan nous a servi à ajuster le bordé 3 tribord par rapport au bordé 2 tribord : on tape sur l'extrémité qui dépasse afin de les aligner. |
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Couture du bordé 3 bâbord. |
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On commence le collage par les joints à l'intérieur de l'étrave et de l'étambot, ainsi que ceux de la face intérieure des cloisons avant et arrière (coté intérieur des caissons étanches). |
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Cédric dépose un cordon d'époxy chargée à l'aide d'une grosse seringue. Nous "lisserons" ensuite ce cordon afin de former un joint-congé.
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Nous retournons ensuite le Skerry afin de coller les panneaux de coque les uns aux autres en déposant un cordon d'époxy chargée le long de chaque joint. |
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Jour 2 : nous commençons par l'extraction de toutes les sutures de fil de cuivre. |
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Nous avons remis la coque à l'endroit et fait tous les joints intérieurs et bouché les trous des sutures sur la surface intérieure. Nous enchainons avec la stratification : un tissu de verre est lié à la surface du contreplaqué en le saturant de résine époxy à l'aide de rouleaux. |
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Le tissu de verre devient transparent lorsqu'il est saturé de résine. Cédric et Thibault font la chasse aux bulles en les tapotant du bout d'un petit pinceau. |
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Le lendemain, jour 3, Cédric fait la sieste sous le Skerry perce les trous des vis du pied de mât et du puits de dérive par l'extérieur de la coque, guidé par Thibault. |
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Même étape vue de l'intérieur. Nous avons commencé par remonter la membrure centrale, que nous avions déposée avant de faire les joints intérieurs et la stratification. |
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Après le premier montage "à sec" (sans époxy), nous avons démonté le pied de mât et le puits de dérive, puis encollé les surfaces de contact et Thibault et Cédric font maintenant les joints-congés entre la coque et la cloison, le puits de dérive et le pied de mât. |
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Dans la foulée, nous collons les sièges (ceux de l'avant et de l'arrière sont aussi la paroi de dessus des caissons étanches. Les bidons servent à presser les sièges sur les surfaces de contact. Nous enchaînons avec le collage des listons. |
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Pour gagner du temps (et grâce à nos 6 mains !) nous avons collé les deux plis des listons en une seule opération. |
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Nous suspendons le chantier pour 5 semaines après ces 3 premiers jours de construction, et nous avons pris rendez-vous pour terminer le Skerry sur 5 journées fin août (3 pour termier la coque et 2 pour la partie "voile" : gouvernail, dérive, espars, et installation de l'accastillage. |
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Jour 4, nous commençons par "nettoyer" les joints extérieurs que nous avions faits le premier soir. |
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Nous avons ensuite repassé une couche sur tous les joints de l'extérieur de la coque et bouchons tous les trous des sutures sur l'extérieur, puis nous arasons les listons à la ponceuse à bande. |
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Nous terminons la journée en passant une couche d'époxy "claire" sur les listons. |
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Nous avons aussi collé les deux éléments d'âme sur l'une des "joues" du gouvernail. Il restera à coller la seconde joue, puis les deux renforts de la tête du gouvernail. |
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Jour 5 : ponçage général de la surface intérieure. |
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Collage des trois jeux de cale-pieds pour l'aviron. |
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Thibault fait les joints-congés autour des cale-pieds. |
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Nous retournons la coque et procédons au ponçage de la surface extérieure (enfin, Cédric et Thibault poncent et je photographie !) |
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Nous rentrons pour faire les joints-congés entre le haut des cloisons et le dessous des sièges. Sur les cloisons avant et arrière, ces joints garantissent l'étanchéité des caissons. |
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Nous faisons ensuite la stratification de l'extérieur de la coque, sur la même zone que l'intérieur (sole et bordés 1). et nous terminons par une couche d'époxy "mouillé sur mouillé" sur la stratification et sur le reste de la surface extérieure. |
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Jour 6 : Cédric ouvre le puits de dérive à la scie sauteuse, reliant deux trous que nous avons percés à travers la sole. |
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Puis il agrandit l'ouverture du puits à la défonceuse, avec une fraise droite guidée par un roulement à billes qui s'appuie sur la paroi interne du puits de dérive. |
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Puis nous collons le mât et l'aileron. |
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Thibault utilise le petit rabot à main pour arrondir les arêtes de la bôme et de la vergue. |
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Le lendemain, jour 7, nous utilisons le rabot électrique pour créer 4 faces supplémentaires sur le mât, passant d'une section carrée à une section octogonale, qui sera ensuite encore travaillée afin d'aboutir à un "carré arrondi". |
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Jour 8 : fixation des ferrures du gouvernail : il est posé sur ce tasseau et légérement surélevé par la baguette, de sorte qu'il soit un peu plus haut que l'aileron qui touchera donc en premier lors d'un talonnage. |
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Essayage du taud sur mesure et rassemblement des "accessoires" : avirons, chariot de mise à l'eau, etc. |
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Et c'est le moment du départ... |
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