1er juin 2020 |
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Suite de la construction du Goat Island Skiff (GIS) de Jacques : j'ai passé une couche d'époxy sur la serre ajourée et les listons. |
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J'ai aussi collé les courbes de support des sièges latéraux. |
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J'ai poncé la serre ajourée, ses cales et les listons, puis j'ai passé une seconde couche d'époxy sur toute cette zone. |
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Je viens de stratifier un petit bout de tissu de verre fin sur le dessus du puits de dérive, comme sur toutes les surfaces horizontales du bateau. |
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Une photo juste pour le plaisir de cette jolie serre ajourée ! |
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Ce soir, j'ai collé des bandes de CP ou des lattes de pin sous le bord exposé des sièges afin de les renforcer. |
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J'ai fait des joints-congés entre les courbes et les panneaux latéraux afin de renforcer le premier collage. |
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Le lendemain, j'ai passé une seconde couche d'époxy sur toute la surface intérieure. |
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Dans la foulée, j'ai collé les sièges latéraux, ce qui termine le travail sur l'intérieur de la coque. |
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Gros plan sur le collage du siège latéral bâbord. Les poids servent à bien appliquer le siège sur les trois courbes et les cales des extrémités. |
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Le lendemain (encore un lendemain, je les dépense comme si j'en avais pléthore), je commence à retourner la coque et je refais une séquence de photos pour ceux qui ne suivaient pas la dernière fois ! |
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Le palan tribord est à bloc, poulie dans poulie, et je mollis totalement le palan bâbord. |
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Je détache le palan bâbord et l'amarre de nouveau après avoir fait le tour de la coque.
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Je mollis le palan tribord et raidis modérément le palan bâbord afin de mettre la coque à l'horizontale, à l'envers, puis je mollis totalement les deux palans après avoir bien positionné mon chariot. |
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Puis je sors la coque afin de poncer pour éliminer toutes les irrégularités de surface et arrondir toutes les arêtes en vue de la stratification. |
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Puis je rentre à l'ombre afin de passer un peu d'époxy sur tout le "nouveau bois" que je viens de mettre à nu et boucher les trous des sutures, des vis temporaires et d'éventuels défauts de surface. |
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Je ne sais pas si j'ai déjà eu l'occasion de mentionner que j'ai fait un trou en travers du brion (que j'avais préalablement bien bourré d'époxy chargée) au lieu de fixer une cadène en saillie, que je trouve trop exposée. En cas de choc frontal, elle risquerait de rentrer dans l'étrave et de nous causer bien des soucis... |
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J'ai aussi fait un petit joint-congé sous les listons pour faire une transition "propre" avec le panneau latéral. |
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Le lendemain (encore un lendemain, mais où les trouve-t-il ? Je pense en avoir encore quelques uns, pas de panique), je sors la coque pour poncer les retouches d'époxy, puis je la rince à grande eau après l'avoir dépoussiérée. |
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Je trace sur le contreplaqué tout propre l'emplacement de la découpe des deux vide-vite et celle de l'avant-trou pour l'ouverture du puits de dérive ainsi que l'emplacement des fausses-quilles. |
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Puis je stratifie un tissu léger (86 g/m2) sur le fond de la coque. |
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A l'avant, le tissu remonte sur les panneaux latéraux et se croise sur l'étrave, que j'ai ensuite habillée de trois pièces superposés, ce qui fait donc 5 couches, soit 430 g/m2, on peut commencer à discuter. |
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Le lendemain (tiens, encore un !) j'ai poncé cette première stratification en prenant soin de "gommer" les lisières, j'ai dépoussièré, puis rincé à grande eau et je drape deux nouveaux lés de tissu léger sur les panneaux latéraux. Ces lés sont juste assez larges pour venir se croiser sur le panneau de fond, qui sera donc couvert de deux à trois épaisseurs, en fonction des endroits. |
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Et hop, encore deux couches croisées sur l'étrave, ce qui nous amène à 602 g/m2, attention devant ! |
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Plus qu'à ouvrir le puits de dérive, poser les vide-vite et coller les fausses-quilles jumelles. |
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Demain, je commence avec Jean-Louis la construction d'un PassageMaker Dinghy démontable. Cette photo de septembre dernier montre comment on démonte le PassageMaker Dinghy.
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La crise du Covid (ou de la Covid, j'ai l'esprit large) a causé l'annulation de toutes les fêtes maritimes de l'été : il va falloir se débrouiller tout seuls comme des grands pour organiser nos propres rassemblements à petite échelle ! J'en profite pour vous remontrer une de mes photos favorites, à Bréhat en septembre 2018. |
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