Jour 5 : mardi 17 juillet 2012 |
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Après avoir pratiqué une première ouverture à la scie sauteuse, Gérard finit les bords de l'ouverture du puits de dérive à la défonceuse sous le regard attentif (et inquiet?) de Michel et François. |
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La défonceuse équipée d'une fraise droite à guide permet de finir rapidement et proprement les bords de cette ouverture. |
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Gérard utilise une seconde défonceuse équipée d'une fraise en quart de rond pour arrondir l'arête sur tout le pourtour de l'ouverture.
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Toute la surface intérieure est poncée afin d'obtenir une surface "propre". Ici, Yann ponce les joints-congés de la membrure centrale. |
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L'extérieur de la coque est aussi poncé, notamment pour "effacer" les bords des renforts en fibre de verre sur l'étrave et l'étambot. |
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J'ai l'air assez confiant en vue du lancement du lendemain soir... |
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Michel utilise la ponceuse orbitale pour "effacer" le talon de la bande de renfort de l'étrave. |
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François dépoussière la surface afin d'identifier les endroits qui devront éventuellement être poncés. |
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Gérard perce à travers la jambe arrière du puits de dérive l'ancrage de la patte d'oie d'écoute de grand-voile qui passe ensuite à travers le banc central. |
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Nous appliquons un "martyr" sous le banc milieu afin d'éviter que les bords de sortie des trous soient déchirés lors du perçage. |
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François s'installe dans son bateau afin de valider la position des cale-pieds de nage. |
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François a apparemment hâte de saisir les avirons ! |
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Erwan fraise les trous de fixation des cale-pieds à travers les bordés 1. |
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Et Yann ponce toujours... |
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Nous avons repassé une couche d'époxy sur l'ensemble de la surface intérieure des Skerry et prenons donc le temps de profiter du beau temps de ce mardi pour voir les deux grands voiliers russes.
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Les ports devaient avoir une sacrée allure voilà 100 ans... |
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J'attrappe au passage cette jolie image de la "Cancalaise" de retour d'une sortie en rade, sous toute sa toile d'été. |
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Retour au travail : nous collons l'aileron des Skerry et faisons dans la foulée les joints-congés à sa jonction avec la sole. |
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L'aileron a été collé et "scotché" en place puis Erwan utilise une grosse seringue pour déposer un cordon d'époxy chargée tout autour. |
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Le cordon d'époxy est lissé à la cuiller, qui lui donne une section concave en arc de cercle, puis Yann râcle l'excédent d'époxy chassée sur les bords du joint. |
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Nous remettons ensuite les bateaux à l'endroit pour coller le second pli des listons, et finissons encore assez tard, peu avant 21h. |
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