Je vais découper l'âme du gouvernail, qui laisse un "canal" de passage pour d'éventuelles commandes de pivotement du safran. En effet, je me contente en général d'un safran qui tient par friction sur les "joues" du gouvernail : je me trempe la manche pour le baisser à la main au départ, et il se relève lorsqu'il touche un obstacle, difficile de faire plus simple. Si je me décide à gréer des commandes, il faudra affiner le haut du safran pour supprimer la friction, mais mes manches resteront ensuite sêches... |