Tête de mât. Trou de 16 mm dont les bords sont bien arrondis, surtout sur les bords inférieurs du trou. |
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Cales d'étambrai collées sur le mât. Les cales ont un profil triangulaire afin de caler totalement le mât quand il est "à fond". De la sorte, il est plus facile à mâter et démâter. Elles dépassent de quelques mm au-dessus de l'étambrai. J'ajuste leur épaisseur après collage à la ponceuse à bande, en fonction "d'essayages" successifs du mât. |
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Vue d'ensemble du pied de mât. Il y a 23 centimètres entre le dessous du pied du mât et le dessous de l'étambrai. J'ai positionné le taquet de drisse à la même distance au dessus de l'étambrai. |
Gros plan sur le pied de mât. Les cales à cet endroit ont aussi un profil triangulaire. Contrairement à l'étambrai, il n'y pas de cales sur les 4 faces, seulement les faces latérales et arrière. La face avant se cale dans l'angle de la sole et de la cloison du caisson étanche avant. |
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"Talon" de la vergue. Seuls deux des 4 brins de la ligature passent dans le trou, les deux autres passent autour de l'espar pour éviter de risquer de fendre. Les 4 angles de la voile sont saisis de la même façon. |
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Capelage de la poulie haute du palan de hale-bas sur la bôme. La poulie est prise sur un simple bout de garcette qui fait deux tours autour de l'espar. Le petit filoir ou pontet en bois rouge évite à la garcette de glisser sur la bôme. |
Même montage pour tenir la poulie haute du palan d'écoute sauf que la garcette, plus épaisse, ne fait qu'un tour autour de la bôme. |
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Vue de l'étambrai et du pied de mât. Le mousqueton inox est pris dans un petit bout de garcette passé à travers un trou de 10 mm sur le coté de l'étambrai et noué dessous. Le palan d'amure/hale-bas s'accroche sur le mousqueton. |
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Et voici le mousqueton du palan d'écoute. Les mousquetons permettent de libérer facilement et rapidement les seuls points fixes du gréement et de libérer l'espace pour ramer. Les mousquetons pendent sous les bancs et on peut donc s'assoir sans inconfort... |