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Rassemblement avril 2012 au lac d'Orient
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Photos prises par Ronan Larvor le dimanche, au bord de l'eau. Les images sont classées par bateau.

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Le Doris 17 "Aldies II". Martial termine de gréer la misaine au tiers, aidé de Jean-Luc. Un problème de calage du pied de mât empêchera malheureu-sement Martial de tester son bateau sous voile.

 

Le joli lettrage du Skerry "Bahari" sur la cale avant le départ.

 

Benoît termine de gréer "Bahari". Il a pris un ris car le vent souffle un bon force 4 avec rafales.

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Benoît a l'avantage sur "Bahari" qu'il immobilise grâce à une prise assez technique "genou sur banc arrière"... En fait Benoît insère les aiguillots de gouvernail dans les fémelots de l'étambot, opération souvent technique sur un bateau flottant et volage.

 

Et ça y est, "Bahari" est en route. Comme déjà mentinné sur une photo de Ronan Coquil, sa voile fait un pli entre le point d'écoute et le point de drisse car la fixation du guindant sur la vergue est trop lâche par rapport au transfilage.

 

Charles-Edouard et Christophe sur la Laïta "Cotentin".

         
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Christophe sur "Cotentin" : comme quoi ramer n'a pas toujours une connotation négative !

 

Vue de l'intérieur de "Gandalf" entre deux sorties. La dérive mixte (sabre et pivotante, avec pivot mobile) est sortie de son puits. La trappe ronde de 4 pouces en saillie donne accès au nable de remplissage-vidange du réservoir de ballast liquide tribord. J'ai déjà noté sur une autre photo que le rangement des avirons n'est pas finalisé...

 

Départ sur "Gandalf" à trois, avec un ris dans la grand-voile, qui réduit sa surface de 9 m2 à 7 m2.

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"Gandalf" au près bon plein. Il faut que je remplace ma drisse en tresse polyester par du préétiré : il est clair sur cette image qu'elle est très détendue et que la voile au tiers n'est plus suffisamment étarquée.

 

Vieille coutume indienne : à chaque départ, je colle la joue à la barre et je lui murmure des choses agréables... Ah non, en fait je suis en train de baisser le safran à la main car je n'ai pas encore installé de commande de pivotement par drisses.

 

Départ au portant, et nous sommes trois "musclés" plus les 132 litres de ballast liquide : la coque est plus enfoncée que sa ligne de flottaison théorique et on voit que la vague arrière est déjà conséquente. Nous avons pu vérifier au portant que le bateau n'arrive pas à planer, du fait de la finesse de sa carène sur l'arrière. Il faut dire aussi que nous avons toujours été plutôt nombreux à bord, et qu'il n'y avait pas sur le lac d'Orient de système de vagues suffisamment long et haut pour démarrer un surf : à suivre !

         
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Cette vue de trois-quart avant confirme que la coque est plus enfoncée que sa flottaison théorique (à vue de nez, la charge totale ballast plus équipage est de 450 à 480 kg).

 

Sur cette image, "Gandalf" est vide mais le ballast liquide est toujours plein : il flotte facilement une dizaine de centimètres plus haut que sur l'image précédente. Son air humide montre qu'il n'est pas au repos depuis longtemps. Il faudra assez rapidement que je vernisse ou peigne par dessus l'époxy pour éviter que les UV l'opacifient.

 

Vue d'ensemble du théatre des opérations ce dimanche : au premier plan "Gandalf", au second plan "Jouvence" et "Tournepierre", et au loin "Piff", "Cotentin" à l'aviron et "Thema".

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Nicolas sur "Jouvence".

 

Benoît à la godille sur "Jouvence".

 

Le Skerry "La Marie Pupuce" : on distingue Claude, à l'avant, et Gérard et masqué.

         
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Vu ! Gérard est démasqué !

 

Olivier prépare une drisse pour ce noble étendard sur son Skerry "Malo".

 

Jean-David est celui qui s'est très visiblement le plus amusé sur son Skerry "Piff" ce dimanche matin : c'est lui qui voulait partir "en mer" le premier, avant même que la pluie ait cessé, et c'est lui aussi qui a passé le plus de temps sur l'eau à la barre de "Piff", toute voile dehors.

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"Piff" dans une rafale : le mât plie et la livarde s'ouvre, ce qui a pour effet d'aplatir et de vider le haut de la voile.

 

Il n'y avait guère que nos petits bateaux et les planches à voile qui étaient de sortie ce dimanche matin.

 

Pierre envoie la grand-voile sur le Pirmil "Thema". Il a pris un ris et n'enverra pas de foc : il n'a pas sorti le bout-dehors.

         
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Pierre finit d'étarquer et Arnaud laisse porter doucement.

 

Et c'est parti !

 

Retour de "Thema" vers la cale, à fond au près. Sa voile au tiers non bômée fait 13 m2 de surface totale, et le foc en ajouterait 4. Je suppose que la bande de ris retire 2.5 m2, et il lui reste donc autour de 10.50 m2.

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"Thema" repart avec six personnes à bord, sans que le bateau paraisse surchargé. C'est "Gandalf" que l'on aperçoit à l'arrière plan à droite.

 

"Thema" est de retour à proximité de la cale et il semble que Philippe (?) s'affaire pour afaller. C'est "Tournepierre" qui passe derrière à l'avirons.

 

L'élégant mais curieux arrangement en haut de l'étrave de "Thema", qui laisse passer le bout-dehors sur bâbord de la fausse étrave.

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Préparatifs de mise à l'eau pour l'Ilur "Tournepierre". "Cotentin" est juste derrière, partiellement masqué, puis le Doris 17 "Paprika", et "Piff" déjà tout gréé.

 

Emmanuel fait glisser "Tournepierre" de sa remorque.

 

Et tout comme à la maison, c'est Madame qui se coltine tout le travail (je rigole, je sais que ce n'est pas partout comme chez moi !)

         
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"Tournepierre" a pris deux ris sur les trois prévus dans sa grand-voile et rentré son foc.

 

"Tournepierre" se prépare à accoster à l'aviron, suivi de "Thema" sous voile et de "Cotentin" également à l'aviron.

 

Charles-Edouard démonte le "faux étambot mobile" qu'il a confectionné pour son Cavelier "Urpekoa", qui lui permet de porter un gouvernail pour faire de la voile.

         

Tous ces superbes bateaux sont des kits de bateaux en bois à construire soi-même selon la technique du « cousu-collé », utilisant du contreplaqué, de la résine époxy et de la fibre de verre. Construire son bateau soi-même procure beaucoup de plaisir et une grande fierté. Démarrer à partir d’un kit vous facilite la tâche  : vous n’avez pas à vous soucier de trouver vous-même tous les éléments : contreplaqué, bois, résine époxy, tissu de verre, etc. Tout est "dans la boite", comme une maquette géante. Le fait que les pièces soient déjà découpées vous évite l’angoisse de l’erreur et une partie assez ingrate au début du projet. Vous hésitez à vous lancer seul : venez à notre atelier pour une "construction accompagnée". Si vous cherchez plutôt un bateau "tout fait", nous pouvons construire pour vous chacun de ces bateaux : demandez nous un devis pour votre bateau "barre en main" !

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