Arwen Marine
 
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Images des activités en cours à l'atelier

16 août 2015

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J'avais terminé les "nouvelles" de la semaine dernière après avoir fait le premier collage de l'Annapolis Wherry Tandem sur l'extérieur de la coque retournée.

 

Le lendemain du premier collage, mon épouse est de nouveau venue m'aider à remettre la coque à l'endroit. Elle est encore très légère (moins de 30 kg) mais encore trop fragile pour que puisse la manipuler seul avec mes palans. J'ai ensuite coupé les 400 sutures afin de les extraire, à l'exception de celles des cloisons des compartiments étanches avant et arrière, et de celles de l'étrave et du tableau, car les joints n'étaient pas encore faits à ces endroits.

 

Notez que j'ai coupé les sutures des quatre membrures et que j'ai déposé celles-ci. En effet, la coque conserve maintenant sa forme du fait du collage des joints entre les virures, et j'ai ainsi un accès royal à toute la surface intérieure pour les opérations à venir. En promenant mon niveau à bulle d'avant en arrière sur le haut des carreaux, j'ai constaté un léger voilage à l'arrière, et j'ai donc installé la béquille que vous apercevez sur tribord arrière.

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Gros plan sur la béquille : j'ai vissé une cale triangulaire sur un bout de tasseau afin de rattrapper l'angle du carreau à la poupe, proche de 35°, et je règle la hauteur de fixation de la cale sur le haut du carreau grâce à une simple pince. Le niveau à bulle me permet de régler la hauteur de cette fixation.

 

J'ai ensuite fait tous les joints intérieurs de l'Annapolis Wherry Tandem et bouché tous les trous des sutures. Travail un peu répétitif, mais qui laisse le temps de s'entendre penser...

 

Je commence par déposer dans chaque joint entre les virures un fin colombin d'époxy chargée, à la consistance de la moutarde, puid je lisse ce joint avec le dos d'une cuiller jetable, et je termine en raclant les excédents d'époxy de part et d'autre du joint à l'aide d'un couteau à mastic ou similaire. Je temine en bouchant tous les trous des sutures, qui sont maintenant devenus inutiles (les trous et les sutures).

         
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Je comble aussi les "manques" éventuels sur les collages des joints-puzzle.

 

Le lendemain, je transfère la coque sur un de mes chariots afin de la sortir au grand air et à la lumière pour poncer les nouveaux joints et plus généralement tous les endroits où j'ai déposé de l'époxy.

 

Je termine par un bon dépoussiérage à l'aspirateur puis au chiffon mouillé, comme à chaque fois.

         
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Je rentre le Wherry et je drape le tissu de verre en vue de la stratification de la face intérieure de la coque. La largeur du lé de tissu est de 100 cm, ce qui me permet de couvrir la sole et 3 virures de chaque bord. Seules les virures du haut (4 et 5) ne seront pas renforcées par la stratification intérieure, ce qui n'est pas gênant car elles seront reprises par les listons.

 

Puis je commence à saturer le tissu de verre de résine époxy, ce qui rend le tissu transparent. J'ai hésité à utiliser la squeegee ou le rouleau pour cette opération, mais j'ai finalement décidé en faveur du rouleau, afin d'obtenir une saturation plus homogène dans la durée, car je travaille seul et la surface à traiter est importante, alors que la température élevée (proche de 30°C) raccourcit la "vie en pot" de l'époxy. J'ai commencé à saturer le tissu au milieu de la pièce centrale et je travaille tour à tour vers l'avant et vers l'arrière afin de conserver un "bord mouillé" partout. Je mixe de petites doses de résine et de durcisseur (jamais plus de 240 ml) afin d'avoir le temps de tout appliquer avant que la réaction soit trop avancée.

 

Tout le tissu de verre du compartiment central est saturé sur la sole et les virures 1 à 3, et il n'y a plus qu'à couper l'excédent de tissu sur le joint entre les virures 3 et 4, et sur celui des cloisons avant et arrière.

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J'ai coupé le tissu excédentaire en périphérie de la stratification du compartiment central avant de m'occuper des compartiments avant et arrière.

 

J'enchaine avec la saturation du tissu dans les compartiments étanches de l'Annapolis Wherry Tandem. Notez que la béquille arrière tribord est toujours en place, car j'ai toujours un très léger vrillage, et la coque n'est pas encore très rigide. Je termine cette journée en appliquant une seconde couche d'époxy "mouillé sur mouillé" sur le compartiment central. Le rôle de cette couche est de remplir la trame du tissu de verre et faire ainsi diminuer son relief afin de rendre la surface plus lisse. J'ajouterai une troisième couche après un bon ponçage.

 

Le lendemain, j'ai poncé la surface de la stratification du compartiment central et j'ai retiré la béquille. En effet la coque commence à être rigide après la stratification intérieure, et sa rigidité augmentera encore avec le collage des pontages des compartiments étanches, le collage des listons, et enfin la stratification extérieure. Notez que l'on aperçoit à l'arrière-plan les quatre lattes des listons dont les scarfs sont en cours de collage.

         
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Je m'apprête justement à fermer le compartiment arrière : notez que j'ai passé une seconde couche d'époxy sur toute la surface intérieure du compartiment, ainsi que sur la face inférieure du pontage, et que j'ai tartiné d'époxy "crème de marrons" (sans huile de palme) le dessus du tasseau de la cloison.

 

J'ai aussi remis en place les quatre membrures : 8 sutures chacune, puis tournée générale de joints-congés. Le niveau à bulle m'a permis de vérifier que le léger vrillage de la poupe avait enfin disparu. J'ai fait des joints-congés de grand rayon sur les membrures car ce sont elles qui transmettront l'effort moteur à la coque, les deux systèmes d'aviron étant fixés dessus par des boulons.

 

Les trois bidons d'1 kg chacun suffisent à presser le rebord du pontage sur le tasseau de la cloison.

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Gros plan sur le tableau arrière et ses deux courbes, que je viens de visser-coller, de même que la guirlande à l'avant.

 

J'ai de nouveau transféré l'Annapolis Wherry Tandem sur un chariot afin de le sortir en vue du ponçage. A ce stade, la coque pèse à peine plus de 30 kg, et les manipulations sont aisées, même seul, car elle est maintenant très rigide.

 

Le ponçage est l'un des secrets pour obtenir de beaux joints-congés : !

         
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J'ai préparé les quatre taquets de fixation des "Row Wing" : j'ai percé un trou de 12 mm de diamètre au centre de chacun, puis j'ai rempli ce trou d'époxy "vinaigrette" légèrement teintée couleur acajou en plus de la charge, car les taquets sont en sapelli bien rouge. Après le durcissement de l'époxy, j'ai repercé en 6.5 mm au centre de chaque cylindre d'époxy afin que les boulons de fixation (de 6 mm de diamètre) se trouvent dans un tube d'époxy pour éviter d'exposer le bois à l'humidité. On peut utiliser ce "truc" élégant partout où une fixation mécanique traverse du bois.

 

Et j'ai collé les taquets sur les membrures. Ces taquets sont collés à l'époxy et le collage est renforcé par deux vis de 45 mm en bronze pour chaque taquet. Dans la foulée, j'ai aussi collé les listons, constitués chacun de deux lattes de sapelli afin de faciliter leur cintrage sur la coque.

 

Les listons sont tenus à la proue par deux vis inox (et une troisième à la poupe) afin de renforcer le collage époxy, et car il est sinon fort compliqué de presser sur la guirlande et sur les courbes de tableau.

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J'ai dû sortir plus des deux tiers de ma collection de presses (j'ai renoncé à les compter), car les lattes de sapelli étaient assez peu rectilignes (je suppose que les lattes ont été débitées dans un plateau qui n'avait pas été correctement séché avant son utilisation).

 

Gros plan sur les presses. Notez la présence du niveau à bulle, que je viens de positionner à divers points de la coque afin de vérifier que les contraintes de pressage des listons ne créaient pas de nouveau vrillage.

 

En effet, le poids total des presses est presque équivalent à celui de la coque, et j'avais lesté celle-ci avec des bidons d'époxy pendant que je pressais le liston tribord et qu'il n'y avait encore rien sur bâbord, afin d'éviter le basculement et la chute, avec des conséquences potentiellement catastrophiques.

         
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Le lendemain, je sors le Wherry en vue d'une grosse opération de ponçage sur les listons : je vais commencer par araser les deux lattes et le haut du carreau à la ponceuse à bande, arrondir l'arête extérieure supérieure à la défonceuse (mêche à guide en quart de rond), couper les extrémités des virures au ras du tableau, etc.

 

Notez comme le sol parait rouge sur cette photo... C'est qu'il l'est à cause de toute la poussière, sciure et mini-copeaux de sapelli, ainsi que mes cheveux et ma peau, mais pas l'intérieur de mes poumons car j'ai porté un masque anti poussière pendant ces opérations brutales... Mais avouez que le bateau parait plus civilisé que sur l'image précédente !

 

J'aimerais bien savoir combien de sapelli je viens de transformer en aérosol, j'aurais du peser le Wherry avant et après l'opération pour avoir une chance de le savoir. En tout cas, je jubile car le peson n'affiche que 34 kg, alors que le poids de la coque prête à naviguer est donné à 41 kg par l'architecte, ce qui me donne 7 kg de marge, et je pense à ce stade ne plus ajouter plus de 3 à 4 kg (joints extérieurs, stratification extérieure et collage du petit aileron, puis peinture et vernis). A confirmer dans quelques jours !

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J'ai passé une couche d'époxy sur les listons, la guirlande, les courbes, les taquets de fixation des portants et plus généralement fait des retouches partout où j'avais mis le bois à nu.

 

Je retourne de nouveau le Wherry afin de m'occuper de l'extérieur de la coque, que je n'ai pas encore retouché depuis le premier collage, qui me parait déjà très lointain ! Je supprime les "patés" d'époxy chargée dans les joints aux endroits des sutures et je ponce l'ensemble de la surface en insistant fortement sur l'arête du bas de la virure 2, comme on le voit ici avec le rabot. En effet, je veux stratifier la sole et les deux premières virures, et les arêtes causeraient l'apparition de bulles, car le tissu de verre n'arrive pas à prendre des courbures trop fortes. La stratification extérieure est normalement limitée à la surface de la sole et des virures 1, mais je préfère remonter un peu plus afin d'augmenter l'effet de rigidification qu'elle apporte. La rigidité est une qualité essentielle pour un bateau d'aviron, sans laquelle une partie de l'effort est absorbée par la flexion de la coque à chaque coup d'aviron.

 

Après dépoussièrage, je rentre la coque pour repasser une couche sur tous les joints, en particulier sur celui entre les virures 1 et 2, pour compléter "l'effacement" de ce joint. J'ai aussi bouché tous les trous des sutures, comme sur l'intérieur de la coque.

         
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Ce gros plan sur la poupe montre le travail effectué en trois teintes : le fond gris de la surface poncée, le "mastic" de l'époxy chargée dans les joints, et le sombre de la surface "mouillée" où j'ai raclé pour enlever les excédents d'époxy chargée.

 

Gros plan sur la sole au niveau d'une des membrures : j'ai passé un petit peu d'époxy chargée pour boucher les quatre trous des sutures qui servent à coudre en place la membrure ainsi que les fentes éventuelles autour des deux tenons qui passent à travers les mortaises découpées dans la sole. Le kit du Wherry d'Annapolis Tandem a été développé à l'aide d'outils informatiques récents, autorisant le positionnement (puis le perçage) de 99% des trous de suture et celui de ces tenons et mortaises qui facilitent grandement le montage. Certains de nos kits plus anciens ne bénéficient pas encore de ces petits luxes, mais CLC a prévu de tous les "moderniser" petit à petit.

 

Cette vue montre l'importance du joint entre les virures 1 et 2 par rapport à celui entre les autres virures. Son but est de combler partiellement la "rigole" sur le joint afin de réduire l'amplitude du "S" que devra épouser le tissu de verre lors de la stratification à venir.

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Le lendemain, ponçage soigné de l'ensemble de la surface extérieure. Notez qu'il reste des fentes imparfaitement bouchées autour du tableau arrière.

 

Après dépoussièrage (aspirateur et chiffon mouillé), je rentre le Wherry pour procéder à la stratification. La température est remontée ces jours-ci pour atteindre 34°C pour la seconde journée consécutive, et je vais fermer mon volet afin de conserver un peu de fraicheur (on reste ainsi en-dessous de 30°C). Mais du coup, je dois allumer mes trois lampes halogènes qui génèrent beaucoups de calories en plus des lumens. On n'a rien sans rien...

 

J'ai fini de saturer le tissu de verre jusqu'au joint entre les virures 2 et 3 et je m'apprête à couper l'excédent, à l'aide de la pointe d'un cutter sur le joint d'époxy, qui me donne une base dure pour couper.

         
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Je pose dans la foulée une bande de renfort sur l'étrave en descendant assez loin sous le brion, car aucune fausse-étrave ni fausse-quille ne viendra protéger la proue.

 

Je laisse durcir une heure et demie et je repasse une seconde couche "mouillé sur mouillé" afin d'augmenter l'épaisseur d'époxy sur la fibre de verre, en l'étendant à l'ensemble de la surface extérieure, qui reçoit ainsi une seconde couche d'époxy après la couche d'imprégnation réalisée avant la couture de la coque.

 

Le lendemain matin, je ponce toute la surface extérieure, car on me pose encore souvent la question, on ne peut en effet rien ajouter sur une couche d'époxy sans la poncer préalablement : ni une nouvelle couche d'époxy, ni un vernis, ni une peinture. Rien n'accrocherait.

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Je passe donc une nouvelle couche d'époxy, après avoir collé le petit aileron. Sa surface est si faible que j'ai considéré l'omettre, car je pense qu'il n'a guère d'influence sur le comportement du Wherry, que ce soit la tenue de cap ou la dérive par vent traversier, mais son utilité réelle sera de protéger la peinture du fond de la coque : je l'équiperai d'une bande-molle en laiton, ce qui permettra de l'utiliser comme point d'appui pour manipuler le bateau lors des mises à l'eau.

 

Le lendemain, après le ponçage rituel du matin, j'ajoute les renforts latéraux en fibre de verre : une bande de 75 mm de large tout le long du joint-congé qui fixe l'aileron sur la sole, et un trapèze qui reprend la partie arrière de l'aileron sur les virures 1 et 2 sur une longueur de 50 cm. Ces renforts reprendront les torsions subies par l'aileron quand on trainera le bateau en soulevant l'avant et en faisant glisser l'aileron sur du dur.

 

Après durcissement de l'époxy des renforts de l'aileron, je ponce pour "effacer" les surépaisseurs et obtenir une surface générale lisse en vue de la peinture.

         
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Car nous y sommes enfin ! Je passe la première de 3 ou 4 couches (en fonction de l'opacité obtenue) de peinture polyuréthane bi-composant, directement sur l'époxy poncée. Notez que j'ai masqué le tableau et les listons afin de les vernir.

 

En parallèle, j'ai procédé à une petite réparation sur la barquette : Michel m'a renvoyé le capot qui obture l'ouverture du puits moteur à travers le pont car, comme on le voit ici, l'un des raidisseurs qui servent à donner au capot un bouge identique à celui du pont s'est décollé et l'autre menace de le faire. J'avais utilisé des vis temporaires pour cintrer le capot et les joints-congés, trop petits pour avoir une surface d'accroche suffisante, ont laché (ou vont lacher pour le second raidisseur), faute de l'assistance mécanique qu'auraient apporté des vis permanentes.

 

J'ai donc coupé ce qui restait des joints-congés et refait deux raidisseurs plus conséquents, que j'ai fixé avec deux vis inox chacun et avec des joints-congés de rayon nettement plus important. Plus qu'à poncer, repasser une couche d'époxy et quatre de vernis. Et hop ! comme dirait Achille Talon.

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Et voici d'ailleurs trois photos du lancement de la dite barquette, qui nous sont envoyées par Michel.

 

Voici ce que nous écrit Michel (le mail est aussi adressé à l'architecte, François Vivier) :
« Voici quelques photos (pas très bonnes, malheureusement) du lancement de l'Hasta Cipango à Port-Fréjus.
Mon fils (à la barre) et mes deux petits enfants ont embarqué avec moi.
Le moteur (pour sortir et rentrer au port) est silencieux et suffisamment puissant.
Nous mettons la mestre. Le pavillon national en bout de penne flotte peu : peu de vent. Malgré cela, le bateau avance. Nous avons oublié d'enlever un pare-battage à l'avant - ce n'est pas très esthétique.
Je mets la polacre. Il n'y avait quasi pas de vent au départ, et le vent est ensuite devenu si faible que les bateaux des moniteurs des écoles de voile allaient rechercher leurs élèves et les remorquaient.
Bilan : le bateau répond à mes attentes et je peux le mettre à l'eau, l'en sortir et le manœuvrer seul. »

 

J'espère que nous aurons le plaisir de recevoir bientôt d'autres images d'Hasta Cipango !

         
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Tous ces superbes bateaux sont des kits de bateaux en bois à construire soi-même selon la technique du « cousu-collé », utilisant du contreplaqué, de la résine époxy et de la fibre de verre. Construire son bateau soi-même procure beaucoup de plaisir et une grande fierté. Démarrer à partir d’un kit vous facilite la tâche  : vous n’avez pas à vous soucier de trouver vous-même tous les éléments : contreplaqué, bois, résine époxy, tissu de verre, etc. Tout est "dans la boite", comme une maquette géante. Le fait que les pièces soient déjà découpées vous évite l’angoisse de l’erreur et une partie assez ingrate au début du projet. Vous hésitez à vous lancer seul : venez à notre atelier pour une "construction accompagnée". Si vous cherchez plutôt un bateau "tout fait", nous pouvons construire pour vous chacun de ces bateaux : demandez nous un devis pour votre bateau "barre en main" !

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