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Images des activités en cours à l'atelier

13/10/13

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Après mon retour du Grand Pavois de La Rochelle, je me remets à la construction du Skerry que je présenterai en même temps que le nouveau Silmaril au prochain salon nautique de Paris, du 5 au 15 décembre prochain. Sur cette image, je viens de faire un ponçage général de la surface extérieure de ce Skerry, que j'avais commencé de construire voila presque un an pour un reportage.

 

Je fais ce gros ponçage après avoir stratifié la sole et les bordés 1 sur l'extérieur, et passé ensuite une couche d'époxy sur l'ensemble de la surface extérieure.

 

J'ouvre le puits de dérive à travers la sole en repensant au traumatisme que constituait pour moi cette opération les premières fois que je devais percer puis scier à travers la coque...

   

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Je pose les bandes de fibre de verre qui vont renforcer les gros joints-congés qui renforcent le collage de l'aileron.

 

Je commence par passer au pinceau une couche fraîche d'époxy, j'applique les bandes de fibre, et je les sature d'époxy au pinceau.

 

J'ai aussi posé deux petites bandes de fibre de verre sur l'ouverture du puits de dérive.

         
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En parallèle, j'ai refait une dérive pour Silmaril, car la première était trop large pour le puits et il n'y avait pas assez de jeu pour qu'elle pivote librement. J'ai suspendu Silmaril pour le retourner afin de poser la bande-molle de l'aileron et les lèvres caoutchouc sur l'ouverture du puits de dérive. J'en profite pour tester la nouvelle dérive.

 

J'ai aussi mesuré de nouveau son tirant d'eau : 0.85 m dérive basse (et 0.22 m dérive haute).

 

Cette vue de profil montre l'ensemble du plan anti-dérive de Silmaril. Celui-ci est constitué du profil immergé de la coque, auquel s'ajoute le petit aileron rapporté, le gouvernail et son safran, et enfin la dérive.

   

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Je viens de poser la bande-molle constituée d'un profilé demi-ovale en laiton.

 

J'ai ensuite fixé les "lèvres" en caoutchouc qui occultent l'ouverture du puits de dérive afin de limiter les turbulences qui seraient causées par cette grande ouverture.

 

J'ai de nouveau soulevé Silmaril afin de le remettre à l'endroit pour le reposer sur sa remorque. J'essaie de nouveau la dérive afin de vérifier qu'elle pivote toujours librement malgré la présence des lèvres sur l'ouverture du puits.

   

 

   
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J'ai percé la barre de part et d'autre de la mortaise qui vient se loger sur la tête de gouvernail et posé des renforts traversants en tige filetée de laiton, avec un écrou à chaque bout. Les écrous sont noyés et seront ensuite collés à l'époxy chargée. Le gros trou rond à gauche sert à tenir le mât de pavillon.

 

Cette vue des étraves de Gandalf et de Silmaril montre clairement la différence des deux dessins. L'absence totale d'élancement sur Silmaril, avec son étrave verticale, s'oppose à celle de Gandalf, qui allonge sa flottaison grâce au système de vagues créé par son déplacement.

 

Guy m'envoie les deux images suivantes du magnifique Sassafras 16 qu'il a terminé de construire à partir d'un kit cet été.

   

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Notez le dossier à sangle pliant qui complète le siège avant. Ce dossier est amovible car lorsque l'on utilise le Sassafras 16 seul, on inverse la proue et la poupe afin d'avancer le centre de gravité en s'asseyant sur le siège avant qui devient alors le siège arrière (je réexplique ou vous avez compris?)

 

J'ai reçu "Carnet de Bord" N°13, le bulletin de la Fédération Voile-Aviron qui contient tout un tas d'articles intéressants sur les activités voile-aviron de l'été et un dossier sur les remorques. Vous pouvez le télécharger sous ce lien.

 

Et j'ai gardé le meilleur pour la fin : nous avons baptisé et testé Silmaril ce samedi, et je peux déjà vous dire qu'il répond très largement à toutes mes attentes !!! Cliquez ici pour voir toutes les superbes photos.

   

 

   
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Tous ces superbes bateaux sont des kits de bateaux en bois à construire soi-même selon la technique du « cousu-collé », utilisant du contreplaqué, de la résine époxy et de la fibre de verre. Construire son bateau soi-même procure beaucoup de plaisir et une grande fierté. Démarrer à partir d’un kit vous facilite la tâche  : vous n’avez pas à vous soucier de trouver vous-même tous les éléments : contreplaqué, bois, résine époxy, tissu de verre, etc. Tout est "dans la boite", comme une maquette géante. Le fait que les pièces soient déjà découpées vous évite l’angoisse de l’erreur et une partie assez ingrate au début du projet. Vous hésitez à vous lancer seul : venez à notre atelier pour une "construction accompagnée". Si vous cherchez plutôt un bateau "tout fait", nous pouvons construire pour vous chacun de ces bateaux : demandez nous un devis pour votre bateau "barre en main" !

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