Arwen Marine
 
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Images des activités en cours à l'atelier

09/07/23
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Voici venu le moment de quitter l'atelier avec le Doris 12 et le Youyou afin d'aller faire quelques essais sur l'eau.

 

Déchargement sur la cale de mise à l'eau de la pointe de l'Arcouest. La mer est d'huile pour ce premier contact du doris avec l'eau.

  Je m'attarde quelques instants pour prendre cette photo du Doris 12 avant sa première navigation.
         
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La très faible brise est portante et je vais donc tester la petite voile au tiers à bordure libre sans attendre. Elle fait 3.60 m2 (comme celle d'un Optimist) et elle n'est qu'auxilliaire : la propulsion principale est assurée à l'aviron.

 

Derniers réglages avant de partir vers Bréhat. Le doris pique un peu du nez car j'ai mis tous les bagages à l'avant.

 

Cette photo du Doris 12 échoué dévoile sous le brion le début de la fausse quille rapportée sur l'extérieur, dont le rôle est de protéger la sole.

         
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La petite voile tient facilement à l'intérieur du Doris 12 grâce à ses espars courts. J'ai oublié de faire une photo avec le mât baissé et posé sur le "cavalier" qui le cale sur le liston.

  Et voici la voile établie. On voit bien sur cette image que le puits de dérive empiète assez peu sur l'espace intérieur. La poulie basse d'écoute est frappée sur un mousqueton lui-même saisi sous le banc central.  

Gros plan sur l'étambrai et la bôme. Celle-ci est tenue verticalement par le palan à gauche qui fait à la fois fonction d'amure et de hale-bas de bôme du fait de sa position sur celle-ci.

       
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Je profite des dépressions qui se succèdent sur la côte de Bretagne nord à la mi-juillet pour tester "pour de vrai" les capacités du Doris 12 sous voile. Le vent est établi à force 5 avec des claques à 6 et je reste dans l'abri de l'anse de la Corderie. Le misainier au premier plan est le "Kerenoc", construit par mon frère Gilles.

  Je suis assis au fond de la coque et j'ai relevé la dérive aux 2/3 afin de laisser le doris déraper et accélérer librement dans les risées. De plus, je tire des bords entre le bon plein et le largue et je n'ai guère besoin de dérive car le but n'est pas e faire le meilleur près.  

Je viens de taper une vague, mais le sillage montre que cela n'a guère ralenti le doris, malgré sa faible inertie (on est à 35 kg dans cette version voile). Afin de libérer tout l'espace derrière le banc central, j'ai passé les avirons dans une boucle tenue dans la guirlande et leur pale est calée sous le banc.

       
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Une risée un peu forte me fait remonter sur le banc pour faire un rappel plus efficace, et je m'apprête à choquer l'écoute en cas de besoin. J'ai également donné un coup de barre pour loffer et vider la voile. On voit que la bordure de celle-ci pourrait être plus raidie pour l'applatir.

  Un petit bord de largue pour confirmer que le Doris 12 ne peut pas planer à cause de l'étroitesse de sa carène sur l'arrière. Plus il accélère, plus on a l'impression que l'arrière s'enfonce car la hauteur de la vague arrière augmente.  

On voit ici que j'ai l'écope (bleue) à la main. J'avais en effet un peu d'eau à évacuer. Celle-ci provient surtout des embruns provoqués par les contacts avec les vagues, car je n'ai pratiquement jamais embarqué d'eau par-dessus le liston.

       
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Je profite d'une accalmie pour rentrer vent arrière. On voit bien sur cette image que le palan d'amure tient également lieu de hale-bas : la bôme reste presque horizontale. Et c'est bien le Youyou que l'on aperçoit au premier plan.

  Je profite d'un moment de calme entre deux coups de vent pour essayer l'aviron. La vague d'étrave n'est pas chiquée, elle montre bien la vitesse que l'on obtient en quelques coups d'aviron. Les doris sont d'abord des bateaux d'aviron, avec la finesse du bas de leur carène.  

Cette image montre bien que la coque semble un peu "piquer du nez". Cette impression est augmentée par la perspective, mais montre qu'il vaudra mieux charger le Doris 12 sur l'arrière que sur l'avant. En effet, c'est là que j'ai mis (logiquement ?) mon ancre et mon gréement. La coque est si légère qu'elle est très sensible au réglage de l'assiette.

       
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Et voici enfin une image du Youyou échoué dans les cailloux. La photo met en valeur l'arrondi généreux de sa courte coque.

  Je n'ai malheureusement pas eu le temps de faire d'images du Youyou en utilisation. Je l'ai testé seul à bord, puis à quatre adultes, en ramant soit du banc avant soit du banc central. A quatre adultes, on est clairement au maximum de sa capacité : s'il y a un peu de mer il vaut mieux se limiter à trois adultes à bord.  

Et voilà hélas venu le temps de rentrer à l'atelier en attendant les prochains essais...

       
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Et voici trois photos envoyées par Denis : ici, son Skerry est bord à bord avec le Fireball qu'il avait déjà construit lui-même voilà quelques années.

  Le Skerry au pied du Phare des Barges, près des Sables d'Olonne.  

Gros plan du Skerry au pied du phare des Barges. On voit sur cette image que Denis a monté une barre franche sur son gouvernail, au lieu du système à guignol proposé en standard.

       
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Charly continue de construire son Matunuck Surf Kayak sur plans. Voici le fond de la coque stratifié sur l'intérieur, bientôt prêt à être assemblé à la partie haute de la coque. On voit très bien les joints-puzzle qui tiennent la partie avant de la sole.

  Et voici la stratification du pontage. Il n'y a plus qu'à laisser durcir (on voit que Charly a enclos un petit volume pour pouvoir chauffer et activer la prise de l'époxy).  

Charly a coupé l'excédent de tissu de verre sur les cotés des deux parties de la coque et les a assemblées en vue de leur collage par un joint-congé renforcé de bande de tissu de verre dans l'angle intérieur des deux parties. Charly a utilisé un pinceau coudé à radiateur pour appliquer l'époxy chargée dans le joint.

       
       
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Michel nous envoie une carte postale de Nancy, où il construit un PassageMaker. Michel nous écrit :
« Après retournement du bateau, tout s'est miraculeusement placé. J'ai bien surmonté mes difficultés de mise en place de la marotte. Avec quelques ligatures en plus, il est vrai. »

  Les huit photos suivantes nous arrivent d'Ahrensburg en Allemagne, où Reinhold construit un Wood Duck 12 sur plans. Cette vue de l'hiloire nous montre la haute qualité de la réalisation de Reinhold.  

Reinhold a fini le plus gros de sa construction : il ne reste plus qu'à stratifier (coller le tissu de verre à la résine époxy afin de réaliser un composite avec le contreplaqué). Mais auparavant, Reinhold doit poncer toute la surface du kayak qui sera ensuite figée à jamais sous le tissu de verre. La tache blanche est un gros grain de poussière sur l'objectif.

       
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Voilà une phase souvent négligée dans la construction navale : libérer le bateau de l'atelier... Ici, il est clair que le Wood Duck 12 passera assez difficilement par la porte.

  L'impression se confirme avec l'escalier... Reinhold ne nous dit pas s'il a pu passer en avançant encore un peu ou s'il a utilisé un "plan B".  

Mais il est sûr qu'il y est arrivé : voilà le Wood Duck 12 prêt pour le ponçage.

       
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Autre vue de la coque du Wood Duck 12 prête à poncer. L'avant du kayak est ouvert jusqu'à l'arrière du cockpit et on peut y loger un "boudin" gonflable pour augmenter la sécurité. Lla partie arrière est séparée du cockpit par une cloison étanche et accessible par le panneau de pont visible ici.

  Gros plan sur le petit tableau arrière et sur la fine poupe du Wood Duck 12.  

Mission accomplie, après le ponçage, Reinhold a réussi à rentrer le kayak dans l'atelier et vient de stratifier la coque. Quand l'époxy aura pris, il coupera l'excédent de tissu qui pend, retournera la coque et stratifiera le pontage, avec un léger recouvrement sous le livet.

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