| 09/02/07 |
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Je continue la construction du Wherry d'Annapolis. J'ai coupé les bordés au ras du tableau. Je profite d'un rayon de soleil pour poncer dehors, selon mon habitude. |
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J'ai d'abord poncé l'extérieur, et je fais ces photos de l'intérieur de la coque avant de démarrer le ponçage, en vue de la stratification. |
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Il a fallu que j'attende presque une semaine pour que l'époxy soit assez dure pour poncer : j'avais l'impression de poncer du chewing-gum ! |
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Cliquez sur les photos pour les voir en grand |
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Cinq heures de ponçage séparent cette image de la précédente... Que du bonheur ! |
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Un petit essayage avec les bancs et les dessus des caissons, juste pour voir ! Pour ceux qui n'ont pas suivi depuis le début, cette luxueuse tente de jardin me sert à limiter un peu les courants d'air quand je chauffe, comme cela va encore être le cas pour stratifier. |
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Je dois en effet atteindre 18°C pour que l'époxy polymérise corectement, alors que le hangar qui me sert d'atelier est totalement dépourvu d'isolation et donc inchauffable. |
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Mise en place du tissu de verre en vue de la stratification. Celle-ci est limitée aux galbords et contre-galbords sur l'intérieur. Sur l'extérieur, seuls les galbords le seront. |
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Et on y va ! La raclette brune (que les américains appellenet "squeegee") me sert à étaler la résine que je verse bêtement sur le tissu. Une fois mouillé de résine, celui-ci devient transparent (et à chaque fois, etc : je vous en fais grâce pour cette fois !) |
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Je coupe au cutter l'excédent de tissu non imprégné au-dessus du second bordé (que les puristes appelleraient le contre-galbord) . Il est important de couper sur le joint en époxy chargée, dur, et non sur le bois, qui resterait marqué par la lame. Par ailleurs, cette photo illustre bien les "joints digitaux" qui remplacent maintenant les "scarfs" traditionnels. |
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J'ai fini de couper les excédents de tissu et je suis trahi par la météo : alors qu'hier il a faisait 10°C et grand soleil, il ne fait que 0°C et il neige aujourd'hui, et j'ai toutes les peines du monde à tenir la coque au chaud... |
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J'utilise ces trois radiateurs soufflants pour envoyer de l'air chaud sur toute la surface fraîchement stratifiée. |
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J'ai remis les bancs en place pour abaisser les flux d'air chaud dans le bateau... |
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Cliquez sur les photos pour les voir en grand |
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Revoici des images de la Prame d'Eastport de Pierre, qui sera baptisée "Pti PIEJO". Pierre nous montre sa collection de batteries, qu'il utilise ici pour maintenir les sièges en pression pendant leur collage. |
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Je suis très content de voir que Pierre a repris l'idée des skegs jumeaux de mon Arwen, que j'ai moi-même copiée sur les "Cobles" anglais. |
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Pierre prépare la pose des bandes molles sur les patins de sole et sur les skegs. Il ne dit pas si c'est de l'aluminium ou de l'inox. |
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| Voici maintenant un bateau que nous n'avons pas encore vu en construction : il s'agit du "Matunuck Surf Kayak", construit par Jérémy. Nous voyons ici le pontage suturé (à l'envers). |
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Voici la partie arrière du pontage. La partie centrale est en deux éléments et les deux parties qui ceinturent le pontage sont en trois éléments, assemblés par des joints-puzzle. |
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Le tissu de verre est drapé sur la face intérieure du pontage, en vue de sa stratification. |
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| Même vue après imprégnation du tissu à la résine époxy. Le tissu est devenu invisible. Les renflements de part en d'autre de l'ouverture du cockpit sont les cale-genoux : on "porte" son kayak comme une chaussure qu'il ne s'agit pas de perdre au mauvais moment ! On se cramponne donc avec les genoux. |
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En effet, le Matunuck est spécialisé pour le surf dans les vagues, activité souvent "musclée". Ici Jérémy se prépare à enlever l'adhésif qui a maintenu le pontage sur la coque pendant le collage. Le Matunuck est très compact : 2.59 m de longueur, ce qui est extrêmement court pour un kayak. La longueur ne sert à rien ici, car la force motrice est apportée par les vagues, et pas par la pagaie. |
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Voici deux des trois ailerons en cours de montage par Jérémy, en configuration "thruster"(en triangle, celui du mileu en retrait, orientation convergente) : Jérémy a fait une découpe dans la coque de son kayak pour coller la "boite à aileron" de chacun des trois ailerons. |
